Orphelins traque l’intime pour proposer un regard non pas sur nos peurs mais sur ce qui les sous-tend. Sur ce qui, profondément, est en jeu dans nos relations à l’autre. Si cette pièce touche au corps et au coeur, c’est qu’en réalité elle ne parle que de nous, humains, qui tentons inlassablement de nous unir contre le reste du monde. De nous qui croyons – et peut-être à tort – que l’amour est, et doit être, définitivement plus fort que tout.